Au bout du chemin, l’océan…
Pour notre dernière étape, nous choisissons de rejoindre l’océan. Après une escale pique-nique près de la Roche-sur-Yon, nous visitons le haras de Vendée découvert par hasard sur une brochure touristique de la région.
Domaine départemental situé en plein centre-ville, cette antenne de l’Institut français du cheval et de l’équitation est à la fois un lieu patrimonial, culturel et touristique lié au cheval. Proposant des courtes démonstrations et présentations tout au long de la journée, il mérite une visite, d’autant que l’entrée est gratuite pour les moins de 18 ans.
Nous poursuivons ensuite notre route vers l’océan. Alors que la côte vendéenne parait plus propice aux grands campings ultra équipés et collés serrés qu’aux petits lieux nature isolés et tranquilles (et accessible avec un véhicule de plus de 2 m de haut…), l’île de Noirmoutier semble plus accueillante pour notre Manuia. Si nous oublions rapidement l’idée de trouver un spot de camping sauvage en bord de mer, le petit camping de la pointe, situé à l’extrême nord de l’île, convient tout à fait à nos attentes : des emplacements dans la dune, face à la mer, à deux pas d’un petit port de pêche, c’est parfait pour nos deux dernières nuits.
Nous ne vous parlerons pas du désensablage du camion, du vent qui nous a secoué et du froid qui, malgré le ciel bleu, était bien saisissant. Qu’importe, les couchers de soleil, la vue dégagée et le petit resto de fruits de mer nous ont amplement convaincus !