Jour 2 : comme une envie d’aller dans les îles… Escale à Oléron !
De la Corse à Tahiti en passant par la Guadeloupe et la Martinique, les îles françaises, c’est notre truc. Bon forcément, avec le contexte actuel (nous sommes en octobre 2020 :(, compliqué de traverser les mers ou les océans pour partir les découvrir… Notre envie insulaire nous embarque donc direction l’île d’Oléron, sur les traces de mes souvenirs d’enfance autour de Fort Boyard que les enfants ont très envie de voir.
Quelques tours de pédales…
Si sa petite sœur l’île de Ré est réputée pour ses pistes cyclables, l’île d’Oléron n’est pas en reste avec plusieurs de kilomètres de voies aménagées permettant de sillonner une bonne partie de l’île en vélo. Malheureusement, les aménagements ne sont pas toujours au top, beaucoup de voies sur routes, de trottoirs aménagés ou de manque de connexion entre les pistes. Nous avons quand même pu faire une belle balade sur la côte ouest de l’île, découvrant de très belles plages sauvages, et désertes en cette baisse saison.
L’île en camping-car
Sur l’ensemble de l’île, de fréquents panneaux vous rappellent que le stationnement de nuit hors des aires prévues est interdit pour les camping-cars. L’île propose un peu plus d’une dizaine d’aires d’accueil, dont plusieurs plutôt bien aménagées, pour 12 euros la nuit eau et électricité incluses. Autrement, si l’île dispose de plusieurs dizaines de camping en été, seuls deux ou trois restent ouverts passé le 15 octobre. Nous vous conseillons celui du Sous-bois, à l’ouest de Saint-Pierre d’Oléron. Accueil très sympathique, beaux emplacements et sanitaires nickels pour ce petit camping familial situé près du port de la Cotinière.