Jour 3 : Athènes au sommet

Jour 3 : Athènes au sommet

Alors que la météo affiche facilement quelques degrés de plus qu’hier à la même heure, le vent en moins, nous partons à l’ascension du Mont Lycabette (Lycabettus Hill), haut de 278 mètres. Pour y accéder, nous commençons par emprunter les ruelles pentues qui rappellent de suite aux enfants celles de San Franscico arpentées il y a trois ans.
À l’ombre des pins et des orangers, la grimpette jusqu’au pied de la montagne est très agréable, malgré la chaleur. Pour le reste, nous optons pour une montée en funiculaire qui, pour 5€ l’aller par personne, vous emmène directement au sommet depuis l’angle des rues Aristippou et Ploutarchou.

En haut, une vue imprenable sur Athènes qui dévoile toute sa grandeur, et sur l’Acropole qui paraît bien petite vue d’ici. Pour la descente, nous prenons le chemin bordé de cactus et peu ombragé en nous disant que cette option du funiculaire à l’aller est vraiment la meilleure. La vue sur l’Acropole et plus largement sur la ville change au fur-et-à mesure de la descente.

Vue du Mont Lycabette
Vue du Mont Lycabette
Vue du Mont Lycabette
Descente du Mont Lycabette

Nous poursuivons par la rue Loukianou qui descend de manière très agréable jusqu’au quartier des ambassades. De là, nous pénétrons dans les jardins nationaux, véritable oasis de fraîcheur au cœur de la ville. Ne ratez pas un moment de repos et de rafraîchissement dans cet endroit bucolique tout à fait charmant.

Passons sur le déjeuner sur la très belle place Lisikratous où nous nous sommes laissés charmer par la belle terrasse ombragée du Café Diogenes. À conseiller uniquement pour boire un verre, la carte n’offrant vraiment rien d’intéressant pour un prix assez élevé.

Jardins nationaux
Terrasse du Café Diogenes

Nous poursuivons notre découverte d’Athènes par le temple de Zeus Olympien, et ses imposantes colonnes installées au milieu de nul part derrière la porte d’Hadrien. Si vous avez acheté le ticket complet à l’entrée de l’Acropole, n’hésitez pas à y entrer ; dans le cas contraire, nous déconseillons l’achat d’un billet car le site se voit aussi bien de l’extérieur que de l’intérieur. Il en est de même pour le stade panathénaïque, dont on peut mesurer toute l’importance de l’extérieur sans en payer l’entrée.

Temple de Zeus Olympien
Temple de Zeus Olympien
Stade panathénaïque
Stade panathénaïque

Après une nouvelle pause rafraîchissante dans les jardins nationaux décidément très agréables, nous terminons notre journée par la relève de la garde devant le Parlement, toujours impressionnant à voir, surtout pour les enfants.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Translate »