Jour 7, des rencontres à croquer

Jour 7, des rencontres à croquer

Quoi de mieux qu’un lever de soleil sur l’océan indien comme vue au réveil ? Il nous a suffit de lever le store du camping-car pour nous offrir ce spectacle inoubliable. Après un petit-dej’ toujours avec notre vue hallucinante, les enfants, courageux, partent tester si l’Océan Indien est aussi froid que la Manche en Bretagne. Nous serions bien restés un jour de plus mais malheureusement, une réservation dans un lodge la nuit suivante à 150 km de là nous oblige à quitter ce petit paradis.

La découverte des animaux restant l’objectif numéro un des enfants – et le notre – durant ce voyage, un élevage de crocodiles a retenu notre attention. Histoire de comprendre ces reptiles préhistoriques, nous partons à la visite de cet élevage avec un guide digne de Crocodile Dundee !

Le Crocodile Creek élève des alligators et des crocodiles pour les réintroduire dans leur milieu naturel d’une part, pour leur peau d’autre part, l’objectif étant avant tout la préservation des espèces en évitant le braconnage. En une heure de visite, nous avons pu approcher les bêtes, les toucher, et se frotter même à d’autres espèces comme des pythons. Si certaines (seulement moi Amélie) n’ont rien osé toucher, les autres (tous, même Léane) ont tenté une approche avec un crocodile et un serpent.

Pique-niquer… ou pas (merci les singes !)

Nous partons ensuite avec l’idée de pique-niquer dans le parc de Amatikulu Reserve, peuplé de girafes et de zèbres. La piste ensablée qui y mène nous a malheureusement fait rebrousser chemin, pour nous arrêter au parc de Umlalazi Reserve. De belles tables de pique-nique en bord de rivière nous tendaient les bras, mais celles-ci étaient malheureusement réservées… aux singes ! Si aucun primate ne semblait squatter le terrain à notre arrivée, à peine avions-nous sorti le ravitaillement que plusieurs singes sont arrivés sur Maëlle lui prenant le paquet de pain qu’elle avait à la main. Cette grosse frayeur de passée pour la puce, nous mangeons finalement à l’abri dans notre camping-car avant de se faire un malin plaisir à aller faire peu aux singes qui, finalement, si nous n’avons pas de nourriture avec nous, ont plus peur de nous que l’inverse.

Nous poursuivons notre route à travers le pays zoulou, sur une autoroute toujours aussi surprenante avec ses vendeurs de rue et ses vaches en bord de route, jusqu’à Sainte-Lucia, escale pour les deux prochains soirs… non pas dans un camping mais dans une maison ! Et oui, de temps en temps, de vraies chambres, avec de vrais lits et une vraie salle de bain, c’est pas mal aussi…

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